22 novembre 2013

22 juillet 2008

Recherche femme qui aime s'exhiber

Je profite de mon blog pour dire ce que je recherche en ce moment.
Une fille qui aime s'exhiber par cam et qui n'a pas peur de montrer son corp. Tu aimes obéir, alors n'hésite pas, contacte moi à mon adresse email tout sera par cam, aucun contact physique réel, mais virtuel. Tu aimes parler de sexe alors sache que moi aussi.
Un couple marié ou non, dont l'homme le mari veut exhiber sa femme à un inconnu tout doucement, juste pour le plaisir de jouir ensemble, j'aime beaucoup ce genre de situation ou la femme obéis à son mari ou à un inconnu devant son homme.
Si vous voulez essayez et avoir aussi le coeur qui bat la chamade seulement en y pensant alors contacte moi : speedyyamas@hotmail.fr

13 avril 2007

La visite de JP avec sa femme

Je me souviens du jour où je t’ai invité chez moi avec ta femme Evelyne, elle avait une longue jupe ouverte sur le côté et un string blanc transparent ou l'on voyait à travers. Son soutif à balconnet sous une chemise très légère avec plein de bouton comme je te l'avais demandé.
Voilà donc ce fameux jour :
Elle sait que tu vas m'offrir son corps et que je pourrais l'utiliser à ma guise pour la soirée. Nous avons prévus un film mais elle ne s'attendait pas à voir sur l'écran des filles en gros plan entrain de sucer plein de mec. Et oui j'y ai glissé un dvd porno et la soirée s'annonce bien. Elle m'a fais une bise timide en rentrant chez moi, mais j'aime sa timidité qui sera juste de passage. Au moment où je prépare l'apéritif au bar, je peux voir dans la glace que tu lui chuchotes des mots à l'oreille, et sans attendre que je me retourne elle porte ses deux mains à sa chemise et en ouvre deux boutons, humm j'ai hâte de revenir m'asseoir près d'elle. Au milieu entre deux hommes, son souffle commence à s'accélérer en regardant une femme à l'écran qui se penche en avant pour recevoir dans sa chatte un sexe d'une bonne longueur, toi tu lui pose la main gauche sur sa cuisse et comme l'ouverture de la jupe remonte jusqu'en haut, tu l'a fait glisser pour y poser ta main au contact tout chaud de sa peau. Je l'a regarde et je regarde le film, je suis excité j'ai envie de me caresser mais je n'en fais rien. Tu penches ta femme contre toi et j'entends se que tu lui dis à l'oreille.
- Laisse toi faire, et profite du moment.
Elle se penche vers toi tout en continuant de regarder le film x et comme dans un rêve je vois que tu lui ouvres tout doucement tous les boutons de sa chemise et quand ils sont tous ouvert tu m’invites à lui toucher le ventre juste sous ses seins.
- Pierre touche ma femme elle est chaude à cet endroit.
Je pose ma main et dès que je suis en contact avec sa peau, elle se penche pour t'embrasser, elle ferme les yeux. Ta main se pose sur la mienne et tu me guide plus haut et au moment où ma main est sur son sein la chemise s'ouvre entièrement pour me laisser admirer sa belle poitrine découverte, c'est pratique un soutif à balconnet je lui caresse les tétons qui durcisse rapidement, toi tu tire sur sa jupe pour me montrer sa petite culotte blanche transparente.
- Chérie il en meurt d'envie embrasse le.
Elle se détache de toi et ce retrouve dans l'autre sens elle ne voit plus la télé mais quelle importance, je vois ses lèvres s'approcher de moi et s'entrouvrir et au moment ou je dégrafe son soutien-george par devant ses seins son libéré et je peux enfin les prendre entièrement dans ma main, humm c'est trop bon son coeur bat la chamade et sa langue vient de se poser sur mes lèvres elle me lèche et me roule un patin du tonnerre, tout vas très vite, tu lui demande.
- Chérie lève toi, humm tu es très excitante les seins à l'air devant nous, regarde Pierre comme il bande, touche lui son sexe, tu le sents, avoue tu en aurais envie enfoncer dans ta chatte.
- Oui, s'il te plaît vous m'avez trop excité.
- Dégrafe ta jupe tu n'en auras plus besoin, ta culotte aussi, regarde moi ça Pierre comme sa culotte est mouillée, tu aimes cela chérie m'obéir.
- Oui tu le sais que j'aime te faire plaisir, faite moi ce que vous voulez.
Je me suis levé et je l'ai aidé à ce déshabiller entièrement, j'ai pris en bouche ses seins et je lui suçais les tétons comme si je mangeais une glace, humm trop bon. Tu lui a appuyé sur les épaules et elle a de suite compris ce que tu attendais d'elle. A genoux elle a ouvert ma braguette et à chercher à l'intérieur, hopp mon sexe qui tape contre sa belle figure, elle me masturbe tout doucement.
- Prends le en bouche mon coeur et suce le comme tu le fais avec moi.
Tout en me regardant droit dans les yeux j'ai vue ma queue rentrer entre ses lèvres et y disparaître entièrement. Elle regardait aussi sont mari, comme pour lire dans ses yeux s’il aimait voir sa femme sucer un autre homme.
Evelyne était entrain de me sucer, elle avait mon sexe complètement dans sa bouche et j'appréciait ses allers retour avec son sourire sur les lèvres, je l'a voyais toute nue et je prenais un sein puis deux dans les mains.
- Suce moi bien, n'arrêtes pas Evelyne, j'ai assez de sperme en réserve pour toi ma belle.
- humm humm j'aime ta queue humm....
- JP regarde Evelyne comme elle me suce bien, elle m'excite tellement que je ne vais pas tarder à jouir malgré moi.
- Je veux que tu lui gicle dans la bouche et le reste sur la figure, j'aime l'a voir maculer de sperme.
- Tes désirs son des ordres, humm trop bon Evelyne oui plus loin là ta langue oui haaa...ouvre bien ta bouche...prépare toi, je vais me vider les couilles, haaa...ouiiiii je jouiiii, avale avale Evelyne ho putainnn...
Tu regardais le sperme gicler dans la bouche de ton épouse et comme convenu j'ai arrosé son jolie visage, du sperme coulais sur son cou et coulait sur ses seins.
- Avoue chérie que ça t’excite, tu as aimé.- Oui chéri, j'ai aimé, étale bien son sperme sur ta figure, oui juste là il y a encore du sperme passe ta langue dessus.
J'ai pas perdu mon temps et je me suis déshabillé entièrement, je bandais de nouveau et pendant qu'Evelyne déshabillait son mari moi je me suis mis derrière elle en lui prenant les seins à pleine main.
- Humm tu m'excite encore Evelyne tu sents ma queue contre tes fesses, dis moi que tu aimerais l'avoir dans ta chatte. Dis le moi.
- Oui Pierre, baise moi j'ai trop envie, j'ai besoin de te sentir, viens, viens en moi.
Elle s'est mise à genoux et j'ai guidé mon sexe vers son vagin, ho putain, seulement de me souvenir je bande, c'était chaud mon gland est rentrer tout seul dedans et la coquine reculais pour ce faire pénétrer.
- Suce moi chérie pendant qu'il te baise, ensuite on te prendra en sandwich j'en meurs d'envie de baiser ma femme ainsi.
- Enfonce toi Pierre, vite baise moi.
- Tiens, tu l'as sent comme elle glisse toute seul dans ton ventre, humm c'est bien chaud, ta femme me réchauffe la queue JP.
Je donnais des coups de rein très lent comme très rapide, je baisais Evelyne avec beaucoup de plaisir, cela faisait au moins 15 minutes, mais tu as vite voulu autre chose et tu le lui as dit.
- Chérie viens, assis toi sur ma queue, attends je me mets à l'aise sur le divan.
Et vlan tout est rentrer dans son derrière, je voyais sa mouille couler le long de sa chatte, et j'ai commencé à lui lécher le minou, trop bon juste à 2cm de ta queue JP, tu l'as baisais je l'a suçait.
- Haaa vous me rendez folle haaaa je vais jouir, hummm.
- Vite Pierre baise là, on l'a prend à deux elle en meurt d'envie, n'est-ce pas mon amour.
- ho ho ouiiii Pierre vite vient vite, ho hummm ouaiiiiiiii.
Je m'étais complètement enfoncer en elle et ont ne pensaient plus qu'à une seul chose c'est de l'a remplir de sperme.
- Tu aimes ça hein Evelyne, t'aime faire l'amour avec deux hommes, je vais jouir dans ton ventre, oui te remplir de mon sperme, je vais te féconder Evelyne.
Et à ses mots tu n'as pas pû te retenir et tu lui as éjaculé dans les intestins. Moi, je t'ai suivi, tu parles j'en mourrais d'envie de jouir dans le ventre de ta femme.
- Oui ouiiiii haaaaaa c'est bonnnn, encore encore, uaaaa j'aime sentir votre spermes gicler en moi, c'est trop bon.
Par la suite, j'ai voulu qu'elle se mette contre toi, tu t'étais assis parterre et elle s'est juste pencher contre toi.
- Relève bien tes jambes Evelyne, je veux que ton mari voie bien ma queue te pénétrer, oui voilà, tu vois bien JP, tu l'as vois ma queue rentrer dans le ventre de ta femme. Ca m'excite ça.
- Et moi tu crois pas, Chérie j'aime te voir ainsi offerte, tu sais quoi Pierre sera ton Amant à partir d'aujourd'hui et il pourra venir quand il veut à la maison, s'il a envie de toi tu te donneras à lui, vous ferez l'amour devant moi et on te feras l'amour tous les deux vue que tu aimes cela. D'accord?
- Tout ce que tu veux, je le ferais.

Voilà n'hésiter pas à écrire ce que vous avez ressenti en le lisant

30 novembre 2006

Mon copain m'offre sa femme (6)

FEMME OFFERTE.

Tout au long du repas, Pierre s’était délecté à plonger son regard dans l’échancrure du
chemisier d’Annie qui laissait apparaître la naissance de deux seins bordés par la dentelle
blanche d’un balconnet qui cachait à peine les deux auréoles.
Le parfum de sa peau lui parvenait par bouffées lorsque dans le cours de la conversation il
trouvait le prétexte de se pencher vers elle feignant de vouloir, par ce mouvement de buste,
être plus convainquant ou lui parler sur le ton de la confidence.
Annie se trouvait maintenant allongée sur le lit entre nous deux. Elle était encore habillée de
sa jupe courte et de son chemisier et Pierre suivait du bout des doigts la lisière de la dentelle
qui épousait les seins déjà gonflés par l’excitation que lui donnait la présence de ces deux
mâles qui avaient envie d’elle.
Pierre ouvra complètement le chemisier laissant apparaître la poitrine de la jeune femme
revêtu encore du soutien gorge qui ne parvenait pas à cacher les bouts de seins érigés par la
caresse.
L’autre main de Pierre était posée sur l’intérieur de la cuisse droite et effectuait un lent
massage en remontant vers l’aine. Agenouillé sur le lit, à côté d’Annie, de l’autre côté, je
faisais une caresse symétrique, remontant du genou vers le haut des cuisses ou mes doigts
effleuraient la dentelle du slip.
Annie se laissait embrasser alternativement par Pierre et par moi, entrouvrant ses lèvres pour
laisser passer nos langues, baisers sensuels qui laissaient présager de ses dispositions à s’offrir
au deux hommes. Comme pour nous encourager et donner le change aux caresses qu’elle
recevait, prenant son air mutin, elle appuyait du bout de ses doigts sur les bosses que faisaient
nos sexes à travers le pantalon.
Pierre se leva du lit pour enlever sa chemise et quitter son pantalon. Vêtu seulement de son
caleçon il vint se placer à califourchon au dessus d’Annie, au niveau de son pubis. Cette
position lui permettait de malaxer à pleines mains les seins opulents qu’il avait tant convoités,
enfouissant son visage dans le sillon parfumé. Quand à moi, je caressais les cheveux d’Annie
comme pour l’encourager à s’offrir aux caresses. Mes mains descendaient dans son cou avant
de masser fermement ses épaules lui signifiant ainsi ma complète acceptation de la voir se
donner à Pierre.
Le massage de Pierre dégagea la poitrine du soutien gorge laissant s’ériger librement les deux
pointes qui furent rapidement aspirées par nos lèvres gourmandes, s’allongeant entre nos
dents. Annie se laissait ainsi mordiller les tétons, aucune caresse sur ses seins ne lui semblant
trop brutale du fait de la montée de son excitation.
Elle portait toujours sa jupe courte que nos mains avaient remontée au dessus de la lisière des
Dim Up.
Tout en regardant le spectacle de Pierre broutant la poitrine de ma femme, je me dévêtis
complètement avant de revenir près du couple, au niveau des épaules d’Annie, sexe dressé
contre son visage, je tapotait mon membre contre sa joue. Se tournant légèrement elle
l’embrassa, suivant de la pointe de la langue la grosse veine bleue qui le parcouraient.
Pierre se décida à abandonner momentanément les seins gonflés, les tétons allongés par les
sucions pointaient insolemment.
Se plantant entre les jambes d’Annie, il remonta la jupe complètement sur les hanches pour
dégager parfaitement la vue sur le brésilien blanc. Il prenait son temps, massant, de deux
doigts, l’entrejambe, il sentait les lèvres du sexe qui mouillaient la fine étoffe plaquée sur la
nudité épilée. Me faisant remarquer le désir d’Annie, il m’invita, à mon tour, à passer mes

doigts pour vérifier l’état d’excitation de ma femme, comme si cela pouvait le dédouaner
d’aller plus loin.
J’avais encore mes doigts posés sur la culotte mouillée que déjà Pierre, penché sur Annie,
embrassait le haut des cuisses avec avidité, remontant sa bouche vers mes doigts pour poser
ses lèvres, à travers l’étoffe, sur la vulve mouillée. Se délectant du spectacle de ce sexe dont le
triangle blond, coupé très court, restait visible sous la dentelle, s’enivrant de l’odeur de la
féminité mêlée au parfum de la jeune femme.
Pierre se redressa, contemplant sa proie. Son membre gonflé, collé contre sa cuisse, dépassait
du caleçon, laissant apparaître un gland violacé, à demi recouvert par le prépuce. Je guidais
moi-même la main de ma femme vers le sexe bandé. Elle le serra du bout de ses doigts fins,
appréciant d’emblée la grosseur du gland, massant la tige de son prétendant à travers le
caleçon.
Pierre se pencha vers Annie, et passant un bras derrière elle, la fit se redresser à moitié pour
l’embrasser avec passion à pleine bouche, forçant sa langue entre les lèvres entrouvertes.
Profitant de ce mouvement d’Annie je dégrafais moi-même le soutient gorge, libérant
complètement la poitrine dont les tétons pouvaient à présent se frotter avec sensualité contre
le torse de Pierre, toujours penché sur elle.
Annie savait à ce moment là qu’elle allait se donner à cet homme qu’elle connaissait à peine,
sous les yeux de son mari consentant.
Mue par la curiosité de découvrir ce membre prometteur, gênée par l’étoffe qui le serrait, elle
prit elle-même l’initiative de faire glisser le vêtement sur les cuisses musclées de son amant.
Pierre finit de se débarrasser du sous vêtement pour se positionner sexe dressé au dessus des
seins d’Annie. Le gland semblait énorme tant il contrastait avec la finesse de la tige.
Saisissant le poignet droit de ma femme, je guidais de nouveau sa main sur le sexe de Pierre
pour qu’elle le décalotte complètement.
Annie tira la peau tendue sur le gland gonflé de désir, et la peau se retira avec une certaine
difficulté, libérant Pierre d’une tension qu’il commençait à ne plus pouvoir contenir. Le sexe
sembla se tendre un peu plus au dessus des seins.
Annie était médusée par la longueur du sexe. Elle prolongea le mouvement de ses doigts fins
sur la hampe raide, tirant fortement sur le prépuce, ses ongles rouges disparaissant dans la
toison de Pierre pour venir masser les testicules pleins de semence, puis elle reprenait son
mouvement le long de la tige tirant du haut vers le bas.
Pierre excité au plus haut point, se décida brutalement à accélérer le rythme. Il fit descendre le
slip le long des jambes d’Annie qui abandonnant toute pudeur, offrait la vue de sa vulve
épilée dont les lèvres formaient deux petites pétales brunes partant vers le bas en s’évasant
légèrement. La fente était encore fermée.
Puis il dégrafa la jupe et la dénuda complètement, ne laissant que les bas noirs.
Il la voyait enfin dans sa totale nudité.
De ses deux mains il suivait le contour du corps étendu sous lui caressant les hanches
remontant sur la taille avant d’emprisonner à nouveau les deux seins gonflés de plaisir, qu’il
pétrissait sans précaution comme s’il avait payé la fille pour qu’elle lui offre tout ce qu’il était
en droit de réclamer. Il s’attarda sur les pointes qu’il étirait à loisir entre ses doigts.
Quand à moi j’étais fier d’offrir ma femme à un connaisseur qui appréciait sa beauté et
manifestait une irrésistible envie de lui faire l’amour.

Puis il se pencha sur l’entrecuisse entrouvrit les lèvres d’un doigt puis appuya avec son pouce
d’un mouvement de bas en haut pour le faire pénétrer. Ce mouvement fit immédiatement
sortir la mouille de ma femme qui ne pouvait plus alors nous cacher son désir.
Il reprit le brésilien blanc pour le frotter entre les cuisses ouvertes, essuyant la fente.
Il fit pénétrer un peu l’étoffe entre les lèvres, attendant que le tissus s’imprègne des sécrétion
avant de le retirer pour le porter à son visage et respirer l’odeur de cette petite salope qui allait
s’offrir à lui.
Il me tendit le slip désirant de ma part un signe approbateur sur les prédispositions de ma
femme à le recevoir dans son ventre. Le sexe de Pierre était tendu au maximum et je savais
qu’il allait la pénétrer d’un instant à l’autre. Annie avait mis ses bras repliés au dessus de la
tête et attendait s’offrant aux deux hommes en effectuant de petits mouvements de bassins,
elle avait très envie de se faire prendre.
Je respirai à mon tour le slip de ma femme et opina de la tête.
A ma grande surprise, et sans autre préliminaire, d’un mouvement rapide il se laissa tomber
entre les cuisses ouvertes pour pénétrer Annie d’une seule poussée, l’écrasant de tout son
poids, profitant pleinement du contact doux du corps féminin, la violant sans ménagement.
Sa chatte n’était pas encore suffisamment ouverte, mais elle avait fait l’amour l’après midi
même avec son Kiné et elle était encore très lubrifiée par la semence masculine qu’elle avait
reçu dans son ventre.
En même temps que la verge la pénétrait, il l’embrassait à pleine bouche, étouffant le râle de
plaisir qui était sorti de la gorge de ma femme.
Elle n’avait pas cherché à résister, et dans un réflexe instinctif avait saisi mon bras de sa main
gauche et s’agrippait au montant du lit de l’autre main.
Le pieu de chair était remonté très loin dans son ventre, la progression étant facilité par la
lubrification des parois vaginales d’Annie. Elle se sentait remplie, et possédée par le membre
viril, qui la clouait littéralement sur le lit.
J’avais eu le temps de voir, très distinctement le gland violacé de Pierre forcer les grandes
lèvres, avant que le sexe féminin n’avale la hampe sur toute sa longueur. Très vite il ressortait
au ¾ avant de replonger à nouveau.
Je comptais plus de quarante allers retours vigoureux dans la chatte d’Annie, effectués par
série de cinq à six, entre lesquels Pierre se redressait complètement entre les cuisses ouvertes.
Je pouvais alors voir le sexe d’Annie un peu plus ouvert à chaque fois par la bite, les lèvres
distendues, écartée de part et d’autre de l’orifice vaginal qui, juste après le retrait, formait un
petit puits rond laissant apparaître les chaires roses, luisante de mouille et du reste de la
semence du Kiné qui avait été reflués sur le bord des lèvres par le mouvement de piston du
sexe de Pierre.
Profitant des ces courtes pauses, je canalisais avec mes doigts le mélange de mouille et de
sperme vers la fente d’Annie, poussais les traces blanchâtres dans le sexe resté entrouvert
juste avant que la queue de Pierre pénètre à nouveau le ventre de ma femme pour la bourrer
avec ce mélange qu’il allait lui-même épaissir par sa propre semence.
L’épilation parfaite de part et d’autre des lèvres, facilitait les pénétrations rapides. Lorsque le
gland, mal dirigé, tapait un peu à côté, il glissait aisément sur la peau lisse et se repositionnait
automatiquement entre les lèvres.
Sous l’effet de ce viol, ma femme s’ouvrait d’avantage, écartant ses cuisses et poussant son
bassin en avant elle s’offrait totalement. Les tétons dressés venaient s’écraser contre la
poitrine de l’homme lorsqu’il se couchait sur elle pour l’écraser de tous son poids. J’adorai la

voir ainsi offerte et ne rien refuser. Je veillais moi-même à ce que ses cuisses restent bien
écartées.
Pierre augmentaient progressivement la durée des pauses, afin d’éviter que ni lui ni ma
femme n’ait un orgasme faisant ainsi durer le plaisir.
Pendant les moments où Annie n’était pas pénétrée, j’enfouissais parfois mon visage entre les
cuisses pour goûter les saveurs des sécrétions vaginales. Plusieurs fois ma femme m’écarta
pour réclamer encore la présence du membre viril dans son ventre et souvent ma langue était
encore sur son clitoris quand la verge de Pierre s’engageait, de nouveau, entre les petites
lèvres.
Ce rythme alterné exacerbait son désir, faisant d’elle une chienne en chaleur qui allait
chercher à se faire prendre jusqu’à atteindre l’orgasme dont la montée n’était gênée que par
les retraits répétés de son amant.
Pierre stoppa la copulation et me laissa sa place entre les cuisses ouvertes de mon épouse.
Il vint se placer à genoux à la hauteur du visage de la jeune femme frottant sa bite contre les
joues et les lèvres. Son sexe était luisant de sécrétions et de la semence qu’Annie avait gardée
dans sa chatte. Refluées par les pénétrations elles avait formé une collerette de crème blanche
à la base de son sexe.
Annie, tout en le branlant de ses doigts fins, comme pour le remercier de l’avoir si bien
baisée, le suça et lécha le membre sur toute sa longueur s’efforçant de ne laisser plus aucune
trace de mouille.
Après m’être délecté de ce spectacle de soumission, je positionnais les jambes de ma femme
sur mes épaules pour présenter son sexe à la hauteur de ma verge tendu.
Pour la première fois pendant cette soirée, je la pénétrais à mon tour d’une seule poussée et
me délectait de pouvoir épancher un peu mon désir de prendre ma propre femme. Elle était
moelleuse et chaude. Cette pénétration la fit expirer profondément. Je me retirai d’un coup
faisant clapoter les grandes lèvres qui se refermaient après le passage de mon membre. J’étais
le troisième homme à la pénétrer aujourd’hui et cette idée me faisait bander d’avantage.
Après 4 allers retours profonds ma bite était suffisamment lubrifiée pour que je puisse la
pointer sur la petite rondelle. J’étais aller chercher un peu de sperme au fond de son ventre et
mon gland en était en partie recouvert.
Annie était toujours positionnée les jambes levées, posées de par et d’autre de mon cou et
j’avais une vue parfaite de son entrejambe. Je pouvais voir distinctement un filet blanchâtre
couler de sa chatte qui coulait par gravitation vers son anus. Me servant de cette lubrification
naturelle, je fit pénétrer un doigt puis deux, massant de plus en plus profondément.
Ramenant ses mains sur mon sexe je l’incitait à guider mon gland qu’elle commençait à faire
pénétrer, ramenant ses genoux sur son ventre pour favoriser l’intromission. Petit à petit le
gland avait passé la corolle brune quand je sentis le plaisir monter de mes reins. Bien qu’ayant
bloqué mon éjaculation je coulait un peu entre les fesses de ma femme qui était maintenant
préparer pour que Pierre puisse à son tour la sodomiser.
Je me retirai et me positionnais à genoux, à califourchon au dessus d’elle, mes fesses tournées
vers son visage, pour maintenir ses jambes en l’air et permettre a Pierre de la pénétrer de
nouveau, je désirais le voir enculer ma petite chérie d’amour, voir la queue longue et noueuse
prendre possession des petites fesses que j’avais commencé à prendre d’assaut moi-même
pour faciliter le passage du membre de Pierre.
Comme il l’avait fait pour la pénétration vaginale il la sodomisa brutalement la pénétrant de
toute la longueur de sa queue. En voyant la queue pénétrer avec une assez grande facilité, je
me doutai que le Kiné y était certainement pour quelque chose.

Une fois enfiché dans le cul d’Annie, je laissais reposer ses jambes sur les épaules de
l’homme qui la limait, pour lécher sa chatte et exciter le clitoris pendant la pénétration annale.
Elle sentait bon. Pierre ne bougeait pas trop car le cul serré de ma femme risquait de le faire
jouir trop vite et il désirait plus que tout vider ses couilles dans la chatte pour que les trois
semences s’y trouvent mélangées.
Annie était belle à voir ainsi pénétrée et je caressais d’un doigt le pourtour de son petit trou
qui s’arrondissait autour de la queue de Pierre. Puis je pénétrais sa vulve, caressant son clitoris
du bout de l’index.
Je maintenais les cuisses bien écartées, les jambes tirées vers l’arrière. Pierre se retirait au ¾
et s’enfonçait à nouveau dans le cul il la bourrait deux trois fois, faisant bouger les seins de
ma femme au même rythme. Annie se laissait sodomiser et branlée, ses halètements
s’accéléraient.
Je me retirais pour prendre du recul et voir ma femme se faire enculer par Pierre.
Annie caressait elle-même ses seins pendant que Pierre, la maintenant fermement par les
chevilles, la bourrait avec un rythme un peu plus soutenu.
Elle fit descendre ses mains vers son entrejambe pour toucher la queue qui la pénétrait,
appréciant le gabarit du pieu de chair qu’elle recevait entre ses fesses, glissant les doigts
dessous pour sentir la paire de testicules pleins de semence. Remontant vers son clitoris pour
se branler doucement se retenant de prendre un orgasme trop vite.
M’approchant de nouveau je massais les seins, l’embrassait à pleine bouche et lui donnait mas
queue à sucer.
Pierre était maintenant au bord de l’orgasme. Il s’allongeât sur le dos à côté d’Annie et lui
demanda de se mettre sur lui.
Annie se positionna à califourchon sur son amant, écrasant ses seins sur le torse masculin. La
queue de Pierre était maintenant érigée entre les fesses de ma femme et je la guidait moimême
pour la faire pénétrer dans la chatte. Agrippant Annie par les hanches, je la tirais vers le
bas pour bien l’enficher sur la queue tendue, puis je me positionnais au dessus du couple,
appuyant ma queue contre la corolle brune d’Annie.
Comme l’avait Pierre quelques instants plus tôt, je pénétrais son cul d’un coup, déclenchant
brutalement l’orgasme simultané de ma femme et de son amant qui se vidait au fond de la
chatte en de longues giclées interminables.
Je me retirai et doucement caressais le corps de ma femme allongée sur son amant, passant ma
main dans ses cheveux, embrassant la base du dos, les épaules. Elle poussait des petits soupirs
de satisfaction.
Dix minutes se passèrent ainsi avant que la queue de Pierre sorte toute seule de la chatte qui
l’avait complaisamment accueillie.
Je remis ma femme sur le dos. J’avais envie d’elle.
Se doutant de mon désir de la prendre elle ouvra spontanément les cuisses pour me laisser me
positionner bien dans l’axe de sa fente.

Contrastant avec la violence des coïts précédents, je la pénétrais doucement par petites
touches, dégustant son fourreau plein de semence chaude.
Je restais planté en elle, bougeant à peine.
La montée de nos orgasmes simultanés fut fulgurante et me déversa à mon tour en de longues
giclées, fécondant, à mon tour, cette femelle si convoitée.


Ps.: Ecris par le mari même.
Johny

13 octobre 2006

Je dévoile son corp pendant le film (5)

Un Vendredi soir Jean est venu nous rendre visite, l'excuse était qu'il voulait voir Astérix avec nous le film que j'avais enregistré. Ma femme était en jeans et chemise normale. Avant que le film ne commence je lui ai demandé :
- Sylvie va mettre ton pyjama, tu sera plus à ton aise pour voir le film.
- Quel pyjama ?
- Mets ce que tu veux. (avec un clin d'oeil)
Elle a compris alors ce que je pensais, elle a pris une douche et après est revenue juste avec un string, ce sont ses slips qui cache juste ce qu'il faut, et un tee-shirt à moi, celui que j'ai pour le sport, bien ouvert sur les cotés avec le dos à moitié dégarni. Jean avait les yeux rivés sur ma femme, le tee-shirt lui arrivait un peu plus haut que les genoux. Il ne pouvait que voir ce qu'elle avait en dessous, car les seins étaient libres de tout mouvement et visible sur le coté. Voyant mon regard sur ses seins plus que d'habitude elle m'a dit :
- Je m'excuse mais je suis à l'aise ainsi, mais si c'est pas bien je vais mettre autre chose.
- Non cela te va à ravir et je ne pense pas que Jean y voie un inconvénient n'es-ce pas jean?
- Heu..non non fais comme chez toi, tu es chez toi, c'est très jolie.
Et Sylvie c'est assise sur le fauteuil juste 2 m derrière mon copain. Nous discutions ensemble, moi je voyais Sylvie mais lui non car il lui tournait le dos et pendant la conversation, j'ai vue ma femme écarter tout doucement les jambes pour me montrer quel slip elle avait mis, elle aime joué à ce jeu là qui est délicat car on peut l'a surprendre. Une vue plongeante entre ses jambes et si Jean ce serait retourné il aurait vue la même chose, ensuite pour m'exciter un peu plus elle a mis sa main au niveau de son torse et à tirer sur le tissu, je voyais de plus en plus sa poitrine. Jean à failli se retourner, elle a vite fermer les jambes et remis le tissu en place. Ensuite rebelote, cuisse écarter elle tire sur son tee-shirt et vlan le sein ne tenait plus dedans, il a pris l'air en entier, j'en pouvais plus. Je voulais dire :
- Jean regarde ma femme comme elle est belle.
Mais je n'ai rien dit et j'ai profité de ce moment d'exhibe en cachette. Je regardais mon copain dans les yeux mais je voyais sur le coté la tenue débrailler de Sylvie pour m'exciter. Je me demande ce qui ce serait passer si Jean ce serait retourner brusquement! Sylvie a fini par ce rajuster en rentrant juste son sein, et en croisant les jambes ce qui a fait glisser le tee-shirt vers le bas. Il a manqué peu pourque l'on puisse voir son string, j'aurai pu lui faire une bise et profiter de descendre un peu plus le tissu mais je me suis retenu. Ses seins étaient de nouveau cacher mais de la façon qu'elle était assis on voyait bien le quart de la poitrine sur le coté. Jean c'est retourner et à discuter avec Sylvie de sa journée. Et tout en ce penchant bien en arrière sur son fauteuil elle a remarqué le regard très appuyer de mon copain sur sa poitrine, elle a baissé les yeux et c'est rendu compte qu'un sein avait pris la fuite et était bien en vue à la vue de Jean. Elle c'est excuser et l'a remis en place, puis c'est levé pour venir chercher de la boisson alcooliser en cuisine. Elle a profité de me le raconter, hé oui je n'étais pas là, et je buvais ses paroles, ouahou j'étais super exciter de ce qui venait de ce passer, grrr j'ai rien vue. Elle me dit :
- Je vais mettre un autre tee-shirt, cela vaut mieux.
- Non. S'il te plaît, tu es ravissante ainsi et puis il ne t'a pas sauté dessus ou bien? Fais-le pour moi.
- Tu sais toujours quoi me dire pour que je ne te dise pas non, je t'aime.
- Moi aussi, viens on retourne au salon. On ne va pas le laisser seul.
Et tout en servant à boire, nous avions une vue plongeante dans son décolleter, les seins étaient libre de tout mouvement, super. Elle savait que l'on voyait dedans mais n'a rien fait pour le cacher, j'ai vue sa gène délicieuse dans ses yeux, mais je l'aime ainsi. Elle c'est assise entre nous deux et nous avons trinquer à cette petite soirée sympathique entre amis. Durant toute la moitié du film, il ne sait rien passer, mais arriver à la moitié, Sylvie c'est endormi contre mon épaule, je sentais son souffle léger, elle dormait profondément comme elle l'avait décider. Jean tout gentiment c'est un peu mis de coté et d'elle même comme si elle était seule dans son lit à lever ses jambes et les a mis sur les cuisses de Jean. A partir de là, nous n'avons plus regardé le film, car Sylvie dormait (aux yeux de Jean) et l'on voyait bien ses cuisses et ses seins qui étaient vraiment à la limite de sortir. Elle s'était couché avec la tête regardant vers le haut, moi j'avais la moitié de son corps et Jean l'autre moitié.
- Elle est belle n'est-ce pas?
- ho oui...très belle.
- Tu aimerais en voir plus?
-...
Dans son silence j'ai eu son accord et j'ai commencé par relevé le tee-shirt sur ses cuisses dévoilant au regard de mon copain un peu plus de son corps. J'ai hésité mais j'ai passé le cap du string et je me suis seulement arrêté quand nous voyons le slip entièrement.
- C'est beau, tu ne trouves pas? Il a failli s'étouffer en buvant.
- C'est très...sexy.
- Je lui ai fais en cadeau la semaine dernière et en l'achetant je savais très bien que je te le montrerais un jour.
Nous parlions assez doucement pour ne pas la "réveiller". J'ai vue qu'il ne lâchait plus des yeux le bas ventre de Sylvie et qu'il jetait de rapide coup d'oeil sur ses seins. C'est là qu'en prenant mon courage à deux main, j'ai tiré juste un tout petit peu sur le tissu et cela n'a pas loupé son sein est sorti de sa cachette. Jean était super exciter. J'ai alors pensé à ce que Sylvie m'avait dit et qu'elle ne serait pas contre que je lui dévoile son corps entièrement, alors j'ai dis :
- Tu voudrais voir l’autre.
Il a fait oui de la tête.
- Alors je te permets de tirer juste ici.
Son coeur devait battre à 120, son pote qui lui permet de déshabiller sa femme. Sa main à fais sortir le deuxième seins, il était tout rouge et avait sa main à 5 cm du téton.
- Tu peux le caresser si tu veux, tu verras comme il réagit.
Il a juste oser lui caresser la poitrine sur le coté, cela a suffit pour faire bouger le téton qui gonflait à vue d'oeil.
- Bon il faut que je rentre, je dois me lever très tôt demain matin.
- Tu ne vas pas rentrer, si les flics t’arrêtent tu es bon pour souffler dans le ballon. Tu peux dormir dans la chambre d'ami si tu veux.
- D'accord c'est gentil.
Je lui ai dit :
- Caresse lui l'autre sein, n'ai pas peur quand elle dort elle dort.
- J'aimerais bien, car dans la tenue ou elle est j'en mangerais, mais tu es mon ami je vais pas profiter de la situation.
- Si c'est moi qui te le demande, alors ne te gène pas touche comme c'est doux.
Il avait dit qu'il en mangerait, attends un peu, ce n'est pas tomber dans l'oreille d'un sourd, que j'ai pensé. Dès qu'il avait poser sa main sur le sein, je lui ai caressé l'autre sein tendrement et glisser ma main droite sous son string, elle a écarté les jambes comme si de rien n'était, Jean lui n'en pouvais plus et j'ai cherché son clitoris, elle a jouis plus que d'habitude, en prenant soin de garder les yeux fermer. J'ai pris l'autre main de Jean en lui disant :
-Tu as deux main alors profites en.
Et je lui ai poser sur le string, il n'osait plus bougé :
- J'ai l'impression de faire un rêve Pierre, mon copain qui m'offre sa femme au caresse, mais soyons raisonnable pour ce soir et laissons là dormir.

J'ai beaucoup aimé le petit gène qu'il a éprouvé quand je l’ai autorisé à lui caresser les seins découverts que le tissu ne cachait plus. Je crois qu'elle en a aussi retirer du plaisir, car il y eu un soir ou elle me disait sous le plaisir qu'elle ne dirait pas non que Jean voit ses seins entièrement. C'est pour cela que ce soir là, je les ai montré à Jean pendant que ma femme dormait (ou faisait semblant de dormir) dans mes bras sur le divan et que Jean l'a regardait tellement.

A regret je n’ai pas poussé plus loin l’exhibe de ma femme. Ce n’était que parti remise. Le lendemain matin Jean est parti travailler, et on s’est donné rdv le soir pour passer les 4 jours ensemble.

Voilà, en lisant vos commentaires je vais savoir si vous avez aimé.

22 septembre 2006

Exhibe en forêt (n°4)

J'ai commencé par de l'exhibe et je demandais à ma femme certaine chose, comme d'enlevé son soutif dans une autre pièce et de revenir discuter avec mon copain, je voulais que ses seins bougent sous sa chemise ou son tee-shirt et que Jean puisse le voir autant que moi. C'était et c'est toujours aussi excitant. Je lui demande souvent de ce mettre à l'aise le soir ou il vient chez nous, juste en slip et en tee-shirt, et depuis Jean vient très souvent chez nous. Maintenant elle ose avec un peu de gène mettre des tee-shirts ouverts sous les bras, car je veux que Jean voie aussi ses seins quand elle lève ou avance le bras pour nous servir à boire. Quand Jean va au toilette je relève le tee-shirt et je mets ma main dans son slip, elle a la chatte trempée, donc cela l'excite c'est sûr. Un soir ma femme était surprise par l'arrivée de Jean et ne l'avait pas entendu, car elle était sous la douche, Jean me regardait en discutant et j'ai vue passé ma femme toute nue dans le couloir, si mon copain ce serait retourner il aurait pu enfin l'a voir toute nue. Elle est vite aller passer une longue chemise qu'elle aime bien porter quand nous sommes seul et j'ai remarqué qu'elle n'avait pas mis de culotte. J'aime quand elle me fait des surprises comme cela. J'aurais très bien pu me mettre derrière elle et en relevant sa chemise dire à Jean :
- Regarde ce que Sylvie cache sous sa chemise.
Mais le courage me manquait encore.

Les soirs qu’il dort chez nous, elle aime me faire l'amour et le savoir dans la chambre d'amis. Elle est plus excitée que d’habitude et moi aussi. J'ai poussé le vice à demander à Sylvie de ce lever et d'aller ouvrir la porte de la chambre et de revenir me faire l'amour, elle en a tiré beaucoup de plaisir et moi aussi, je pense que l'on voulait vraiment qu'il passe par là juste à ce moment là.

EXHIBE EN FORÊT

J'aime caresser ma femme surtout sur les seins, le soir ou dans la journée quand nous sommes seul. Je lui demande en été de mettre des vêtements pour que je puisse plus facilement accéder à ses seins ou les sortir de temps en temps pour que je les voie tout en restant habillé, c'est très excitant. Ensuite je les lui caresse en présence de personne autour de nous, même en discutant avec ses parents je passe mine de rien ma main sous le tee-shirt et je prend un sein en main pour le caresser. Je lui demande souvent d'aller retirer son soutif et de revenir prêt de moi pour me le donner dans la main avec la peur que son père ou sa mère ne voit le tissu entre ses doigt. Ce que j'aime aussi beaucoup c'est en forêt, un jour elle avait une jupe qui lui arrivait au genoux, je lui ouvrais assez de bouton de la chemise pour que je puisse voir son soutien george et pour finir je lui demandais de l'enlever et après quelques pas dans les bois je l'embrassais à pleine bouche, je passais mes deux mains sous sa jupe et je lui caressais son pubis à travers le tissu ensuite je glissais ma main à l'intérieur et quand tout était bien mouillé je lui demandais :
- Enlève là sinon tu vas l'a mouillé, ce serais dommage.
Et avec plaisir je l’ai regardé enlever son slip pour le mettre avec son soutif dans le sac à dos. C'était de belle journée et j'ai hâte que l'été revienne à chaque fois. Je l'ai fais même une fois marcher toute nue en laissant ses vêtements derrière nous, nous étions seul mais c'était un terrain militaire et après 20m à l'admirer toute nue dans le bois et au moment où elle c'est mise à genoux pour me sucer et calmer mon érection nous avons entendu un bruit de camion qui venait vers nous, elle a eu le temps juste de ce rhabillé et nous sommes allé dans la voiture pour qu'elle puisse finir ce qu'elle avait commencer, j'ai jouis dans sa bouche en pensant a cette exhibition coquine.

Depuis quelques mois, elle se sent tellement à l'aise entre Jean et moi, qu'elle ne met plus qu’un slip et un tee-shirt, juste deux vêtement c'est très excitant, il ne faudrait pas que l'on joue à un jeux comme strip poker sinon elle serait toute nue en même pas 1/2 heure. Mais comme je ne sais pas jouer au poker, il n'y a pas de risque que cela arrive. Je voulais de plus en plus l'exhiber à ses yeux, et chaque jour qui passait je cherchais d'autre tenue ou d'autre prétexte pour qu'il puisse entrevoir ou voir ses seins. A force que ma femme s'habille ainsi quand mon copain vient, je le vois au moins 3 fois par semaine, ou chez nous ou nous allions souvent chez lui. Un samedi soir quand Jean est arrivé Sylvie était dans son bain, je me suis retenu, pour ne pas dire à Jean de regarder par le trou de la serrure ou de carrément ouvrir la porte pour qu’il aille lui faire une bise dans son bain et qu'il puisse deviner son corps tout nue sous le peu de mousse qu'elle met dans l'eau, j'aurai voulu que nous restions à coté d'elle à attendre que la mousse disparaisse tout doucement et que je puisse lui montrer tout son corps, humm seulement d'y penser, mais je n'ai pas eu le courage d'ouvrir la porte et de faire un pas de plus pour exhiber mon épouse à ses yeux.
Ce que je ne savais pas c'est que quelques jours après je lui dévoilais son corp, ce sera la prochaine histoire.

21 septembre 2006

Petite exhibe sur le balcon (n° 3)

Je m'excite en exhibant indirectement ma femme à mon meilleur copain, il y a par moment un sentiment de jalousie qui naît en moi, mais j'aime lui enlever le soutien george juste au moment où il stationne sa voiture pour venir chez nous. J'aime voir ses seins bouger et que lui les regarde avec désir. Je suis allé même à lui donner un de mes tee-shirt de sport ouvert sous les bras au moment où elle sort de la douche et que mon copain arrive juste après, ou qu'il est entrain d'attendre dans le salon avec moi, que Sylvie nous rejoint. Je crois qu'il aime voir ses seins bouger sous le chemisier ou sous un bout de tissu très léger. Mais là il ne s'attendait pas à la voir arriver et qu'il voyait ses seins au moment où elle s'est penché pour lui faire la bise. Au début elle mettait toujours sa main devant la poitrine, une habitude chez les femmes, mais à force de lui dire de ne plus le faire, elle a réussi cet exploit ce soir là, tout en sachant que Jean verrait ses deux seins pendant quelques secondes.Comme si de rien n'était elle est venue s'asseoir à côté de moi et en ce penchant, le tee-shirt baillait sous les bras, un des seins essayait de sortir. J'ai vue qu'elle faisait des efforts pour qu'il ne sorte pas. Pour lui venir en aide j'ai passé mes deux bras sur son torse pour la rassurer un peu et que Jean ne voit pas son manège. Malheureusement ou heureusement il n'est pas aveugle. Mais au moment de passer mes bras autour d'elle, le sein est sorti de sa cachette et comme j'avais mes bras autour d’elle, on ne le voyait pas. J'ai beaucoup hésité à retirer mes bras pour que Jean puisse le voir, mais nous n'en étions pas encore à ce stade. Il y a eu un moment où Jean est allé au toilette, là j'en ai profité et j'ai enlevé les bras et j'ai vue le sein sorti de sa cachette à l'air libre.
- Et si je ne remettais plus mes bras autour de toi.
- Je rentre mon sein, sinon Jean va le voir et vas ce poser des questions.
- Qui te dis qu'il n'attend pas cela et qu'il aimerait les voir comme il a certainement déjà pût les voir quand tu lui as fait les bises.
- Tu oserais faire cela?
-....
Nous entendions Jean revenir, je n'ai pas bougé d'un poil, c'est Sylvie qui a réagit et qui a eu juste le temps de rentrer son sein à l'abri du regard de Jean.

Et puis le soir d'après, avant que ma femme baise avec Jean vraiment, il était environ 10h45, j'ai pris ma femme par la main et je lui ai demandé de me suivre, nous sommes allé dans la chambre, et elle m'a demandé :
-Que veux-tu faire ?
- Chut tu verras, c'est une surprise.
Je lui ai bander les yeux et je lui ai enlevé les vêtements qu'elle avait sur elle, c'est à dire son tee-shirt qui arrive à mis cuisses et son slip rien d'autre. Elle s'est retrouvée toute nue devant moi. Je l'ai tiré vers moi et je lui ai demandé de me suivre, elle marchait avec sa main droite en avant de peur de percuter un meuble peut-être. Arriver au salon j'ai ouvert la porte du balcon et après un rapide coup d'oeil si personne ne passait sur le chemin derrière la maison, je l'ai fais marcher sur le balcon, c'était horriblement excitant.
- Tu es sûr qu'il n'y a personne?
- Qui sait, à toi de penser ce que tu préfères.
- Moi j'aimerais qu'il y est Jean et que vous me fassiez ce jeux là ensemble ce serait très excitant.
- Tiens tiens…Si tu veux la prochaine fois, mais il n'est pas là ce soir.
Je l'ai mise contre le mur et je l'ai embrassé comme un fou en lui disant plein de mot d'amour. Le temps passant et après m'avoir fait une fellation, elle c'est penché sur le balcon en me disant :
- Fais moi l'amour ici, maintenant, j'en ai trop envie.
- J'aime beaucoup ses envies là.
Et en prenant mon sexe en main je l'ai mis à l'entrée de son vagin pour que son désir ce réalise.
- Tu me sens bien en toi.
- humm oui.
- Imagine que c'est quelqu'un d'autre qui est entrain de te faire l'amour et que moi je ne suis pas là.
- Ho oui, c'est la queue de Jean qui est en moi, c'est bon.
- Je ne savais pas que tu fantasmais sur lui, non, un autre homme.
- Mais tu sais que tu ne montres mes seins qu'à Jean et personnes d'autres.
- Tu as raison, penses à Jean si tu veux. Ce sera pour une autre fois, on verra bien.
Nous avons fais l'amour ainsi lentement en profitant de la petite fraîcheur du moment et après des mots de jouissances et que j'ai déversé mon sperme en elle, nous sommes rentrés pour continuer nos petits jeux érotiques à l'intérieur. J'aime beaucoup ses moments là. C'est au moment ou je l'ai fais asseoir sur moi et en l'a pénétrant encore une fois au salon, que je lui ai enlevé le bandeau des yeux, puis elle m'a embrassé tout en savourent mon sexe en elle.
- Tu me fais terriblement mouiller, tu sais.

Si mes histoires vous plaît n'hésiter pas à mettre un commentaire et je vous ferais vivre la suite de mes aventures avec ma femme.